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Stihl Danmark https://stihl-dk.com Thu, 03 Apr 2025 15:56:22 +0000 da-DK hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://stihl-dk.com/wp-content/uploads/2025/07/cropped-Capture-decran-2025-07-08-a-21.13.03-2-32x32.png Stihl Danmark https://stihl-dk.com 32 32 246056238 shopengine_activated_templates a:1:{s:4:"cart";a:1:{s:4:"lang";a:1:{s:2:"en";a:1:{i:1;a:3:{s:11:"template_id";i:5703;s:6:"status";b:1;s:11:"category_id";i:0;}}}}} Comment remplir votre carré potager ? https://stihl-dk.com/?p=5243 https://stihl-dk.com/?p=5243#respond Thu, 03 Apr 2025 15:56:22 +0000 https://stihl-dk.com/?p=5243 Le carré potager est à la fois une méthode culturale et un support de culture. Légèrement surélevé et composé de plusieurs petites cases dans lesquelles on plante des légumes, fleurs et aromatiques, le carré potager est né d’une réflexion sur la méthode traditionnel du potager en ligne. Offrant de nombreux avantages, le carré potager doit cependant être rempli judicieusement pour être productif. Un substrat riche permettra à tous vos légumes de croître et prospérer, tout comme des bonnes associations !

La petite histoire du carré potager

Cette méthode de jardinage a été inventée aux USA par Mel Bartholomew, un ancien ingénieur qui, souhaitant se mettre au jardinage, ne désirait pas pour autant suivre les méthodes traditionnelles. Il s’est interrogé sur la nécessité pour un particulier de cultiver des dizaines de plants de légumes de la même espèce avec la méthode de cultures en ligne. Le carré potager tel qu’il le définit permet la confection d’un potager même sans disposer de beaucoup d’espace et produisant des petites quantités de légumes à la fois. La méthode repose sur une culture en bac assez classique mais ce bac est divisé en petits modules, permettant des plantations denses. La méthode de M. Bartholomew conseille un carré de 1,20 m de côté, divisé en 16 petits carrés de 30 cm de côté. Depuis, cette méthode a été plébiscitée, transformée, adaptée, par de nombreux jardiniers.

Lisez notre article sur la méthode française du potager en carrés : Le potager en carrés par Anne-Marie Nageleisen : « écologique, économique et ludique »

Une méthode avantageuse

  • Le carré potager permet d’installer un potager partout, même dans un petit espace, et ne demande pas de disposer d’une surface de bonne terre. Vous pouvez en effet installer et remplir un carré potager sur un balcon ou une terrasse, dans un patio ou une cour, sur de la mauvaise terre (sol très pauvre, remblai…).
  • Jardiner en carré potager est un gain de place. En effet, les cultures y sont plantées de façon plus dense que dans une planche potagère. Dans un jardin, la pose de ces carrés de 1,20 m de côté peut être une perte de place car on y multiplie les allées, mais il suffit de réaliser de longs rectangles pour limiter le nombre d’allées intermédiaires.
  • Le volume de terre étant limité, cette méthode entraîne des économies en eau (le paillage est par contre obligatoire, qui limite l’évaporation). Et même s’il a tendance à sécher assez vite, sur les côtés notamment, il est simple de prévoir un système d’arrosage par goutte-à-goutte ou tuyau microporeux avant le remplissage.
  • Le substrat ainsi circonscrit se réchauffe plus rapidement au printemps, autorisant une plantation plus précoce.
  • Grâce à la surélévation du substrat, celui-ci laisse l’eau s’évacuer plus facilement lors des fortes pluies, évitant des pertes. Les légumes, comme de nombreux autres végétaux, n’aiment pas les excès d’eau.
  • La surface réduite permet d’économiser ses efforts : moins de surface à désherber, à biner… Le substrat reste exempt de tassement, rendant plus facile la suppression des herbes indésirables. Celles-ci sont moins nombreuses grâce à la densité des plantations et au paillage épais mis en place.
  • Les légumes y sont plus sains : un des principes du carré potager est d’associer les cultures entre elles, ce qui permet un mélange des espèces de légumes, d’aromatiques et même de fleurs. Les ravageurs sont donc moins attirés par leurs hôtes habituels, ont moins de facilités à se déplacer de l’un à l’autre, tout comme les champignons et autres maladies.
  • La disposition en grille permet une gestion fine de la planification et de la rotation des plantes dans le carré potager.
  • Les carrés potagers basiques sont certes près du sol, mais leur surélévation de 20 ou 30 cm représente déjà une amélioration notable du confort lors du travail du sol, des soins ou des récoltes. La forme et la méthode sont assez ludiques, idéales pour les débutants, pour les enfants.
  • Le carré potager est très esthétique, il peut de ce fait être installé au plus près de la maison, ce qui facilite son entretien.

Pour en savoir plus, lisez nos conseils sur Vive le potager au carré et sur la rotation des cultures.

Mettre un carré potager dans son jardin:

 

 

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Comment choisir le bon enclos intérieur pour mon lapin ? https://stihl-dk.com/?p=5238 https://stihl-dk.com/?p=5238#respond Thu, 03 Apr 2025 15:47:35 +0000 https://stihl-dk.com/?p=5238 Le lapin est un compagnon sympathique, à la fois curieux et tout doux. Pour que son bien-être soit au rendez-vous, il est important de lui offrir un cadre de vie adapté, suffisamment spacieux mais où il se sente aussi en sécurité. L’enclos est un espace idéal car plus grand et plus ouvert qu’une cage. Comment bien choisir l’enclos intérieur parfait pour son lapin ?

 

Les points importants pour bien choisir l’enclos intérieur de mon lapin

Bien qu’un lapin domestique doive passer la plus grande partie de son temps à l’extérieur, dans l’herbe, il y a des moments où il va rester dedans, la nuit par exemple, ou lorsque vous partez travailler, ou quand les températures extérieures deviennent trop basse. Un enclos pour lapin est alors à préférer très largement à la cage, ne serait-ce que parce qu’il offre plus d’espace au lapin pour sauter et se défouler un minimum. Il peut également s’y reposer, manger et boire, faire ses besoins en toute tranquillité et sécurité. Car il n’est pas toujours judicieux de laisser votre lapin libre d’aller et venir dans votre logement sans surveillance. Fils électriques au sol qu’il peut mordiller, portes ouvertes par lesquelles il peut s’échapper, plantes toxiques qui peuvent le rendre malade… Alors, comment choisir l’enclos d’intérieur pour un lapin ?

Vois nos enclos pour lapin

 

La taille de l’enclos

Celle-ci doit être adaptée à la taille du lapin, qui doit pouvoir faire plusieurs bonds dans la longueur comme dans la largeur. Le minimum est de 4 m2. Et plus votre lapin devra passer de temps enfermé dans cet enclos, plus celui-ci doit être grand.

L’enclos doit aussi permettre de faire plusieurs espaces : un pour la nourriture, un pour les besoins (sachant que les 2 doivent être côte à côte, les lapins font leurs besoins pendant qu’ils mangent !), un pour le repos, et un pour jouer.

Et plus c’est grand, plus votre lapin y sera bien. Et plus il restera en bonne santé.

Astuce : si vous n’avez pas beaucoup de place, pensez à ajouter un étage accessible grâce à une rampe, l’espace disponible pour le lapin sera accru sans grêver le vôtre. Dans ce cas, prévoyez quand même 2 m2 au sol pour qu’il puisse se dégourdir les pattes.

La hauteur est aussi à prendre en considération pour bien choisir l’enclos d’intérieur pour un lapin. Il faut que le lapin puisse se mettre debout sans pouvoir sortir. On considère qu’un enclos pour un lapin nain doit mesurer au moins 50 cm de haut, et 70 cm de haut pour un lapin bélier ou autre espèce plus grande.

Sachez qu’il existe des filets à placer au-dessus de l’enclos pour éviter que le lapin s’échappe, au cas où votre petit compagnon serait le roi de l’évasion !

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Parole d’autoproducteur : Dominique en Seine et Marne https://stihl-dk.com/?p=5222 https://stihl-dk.com/?p=5222#respond Thu, 03 Apr 2025 15:22:00 +0000 https://stihl-dk.com/?p=5222 Dominique possède un terrain de 2000m² en Seine et Marne : maison, jardin d’ornement, tas de compost et potager se partagent l’espace. Eloïse, sa fille, qui s’est lancée dans la confection de tisanes, a elle-aussi la passion des plantes (aromatiques !). Dominique ne jure que par le mulch ! Avec 5 à 10cm d’épaisseur sur chaque parcelle de culture, c’est son secret pour ne plus arroser… ses tomates !  Découvrez en plus sur Dominique, et ses astuces et conseils pour devenir, comme lui, un autoproducteur !

Gamm vert : Qu’est-ce que vous aimez dans l’auto-production ?

Dominique : En fait, ce n’est pas évident à expliquer. Mais il y a un côté magique de voir les plantes grandir et je me surprends à aller dans la serre pour voir ce qui a poussé dans la nuit… d’en prendre soin… je ne saurais pas mettre des mots dessus en fait. C’est un peu comme une pouponnière. Il y a une addiction clairement derrière…

 

Gv : Est-ce que vous avez déjà fait des erreurs au potager ?

Dominique : J’ai eu une époque où je ne faisais pas les choses comme il faut, je plantais, puis je me disais, la nature va se débrouiller. Et puis en fait non, ce n’est pas si simple que ça. En fait dans la nature, il règne une loi qui est assez simple à comprendre, c’est la loi du plus fort. Donc si vous laissez faire la nature, ce sont les plantes les plus fortes qui vont prendre le dessus. Et en l’occurrence les plantes les plus fortes, c’est ce qu’on appelle les mauvaises herbes, les indésirables.

Et donc on ne peut pas laisser faire la nature. Il va falloir qu’on mette notre grain de sel pour pouvoir organiser un petit peu les choses de façon à ce que des plantes, qui en réalité ne sont pas des plantes de chez nous – la plupart des légumes qu’on fait pousser dans le jardin, ce sont des légumes qui viennent d’Amérique du Sud en réalité : les tomates, les courgettes etc. – il va falloir les aider.

La première des choses, c’est effectivement, leur offrir un sol qui va apporter les nutriments nécessaires. La 2e chose, ça va être d’éviter qu’elles s’en prennent plein la figure avec le soleil et la pluie, et c’est pour ça que le mulch est important parce que ça va faire comme un vêtement sur une peau. Ça va les protéger en réalité. Et enfin, il va falloir aussi lutter contre toutes les maladies qui peuvent arriver. Parce que forcément, comme le climat n’est pas celui qui est vraiment le plus adapté à ces plantes, elles ont du mal à se défendre.

Et en l’occurrence avec les tomates par exemple, c’est le mildiou qui arrive très vite et en plus, moi je suis à un endroit pas très très loin de la Marne qui est assez humide, donc c’est chaque année assez compliqué de lutter contre les maladies cryptogamiques.

Eloise : Et tu m’avais dit un truc intéressant, un jour, c’est qu’il faut accepter quand on fait du potager d’avoir une part de perte. Tu ne pouvais pas sauver toutes tes plantes face aux maladies, aux insectes, etc. C’est déjà un combat perdu d’avance et c’est pour ça que justement, on produisait un peu plus aussi quelque part, ça compensait cette perte.

Dominique : C’est vrai, il faut être très très humble là, parce que ce qui a marché une année peut très bien ne pas marcher l’année suivante. En fonction des aléas climatiques. Au niveau des fruits, c’est flagrant et il y a des années où ça ne va pas bien donner. On ne sait pas pourquoi, on ne voit pas la différence par rapport aux années précédentes, mais c’est assez global, donc il y a des choses qui se passent, il y a des choses qu’on ne comprend pas encore et je pense que pour les légumes c’est un petit peu pareil aussi.

C’est pour ça aussi que c’est important de varier la production parce qu’il y a des choses qui peuvent ne plus marcher du tout, au moins on peut se refaire la cerise sur d’autres choses.

Gv : Eloïse, vous vous êtes lancée dans la vente de tisanes*. Vous aussi, vous avez attrapé la passion des plantes : est-ce que ce sont vos parents qui vous l’ont transmise ?

Oui, c’est un peu eux qui m’ont donné la volonté de plonger un peu plus dedans. Le jardin depuis que je suis toute petite, ils le font. Quand j’étais adolescente, je rechignais à les aider parce que j’allais tirer l’eau de la citerne ou on allait chercher du mulch, donc c’est épuisant et c’est physique. Mais après, c’est vrai que le résultat est génial. Et puis, j’ai voulu faire l’école de plantes de Paris, qui formait à l’herboristerie.

Donc en parallèle, moi je lui parlais des plantes que j’avais vu en cours et donc il se renseignait. Il achetait les graines, il plantait donc en fait, on s’autoalimentait l’un l’autre de connaissances et de pratiques.

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